Histoire

Dernière modification le 08/01/2024

Antony a été mentionnée pour la première fois en 829. La Ville a donc une histoire riche et a accueilli des personnalités marquantes que cette rubrique vous propose de découvrir.
Vous trouverez également des informations sur les dates commémorées par la Ville et les associations, les déportés et résistants Antoniens ainsi que les victimes de la Shoah. Une bibliographie complémentaire est à votre disposition pour approfondir vos recherches.


L’Histoire d’Antony en bref

Le nom d’Antony vient de celui d’un propriétaire gallo-romain appelé Antonius. C’est dans la confirmation d’une donation royale à la grande abbaye que, pour la première fois, en 829, apparaît le nom d’Antony. De la “chapelle” de 829, on peut voir les restes sous la tour de l’église Saint-Saturnin.

Xe-XVe siècles : la création d’une « paroisse »

L’histoire d’Antony a été mouvementée. En effet, le village situé sur le plat pays, à mi-chemin entre Paris et la place forte de Montlhéry, s’est trouvé sur la route des bandes et des armées lors de tous les soubresauts de l’histoire de l’Île-de-France : invasions vikings du Xe siècle, guerres de Cent Ans, du Bien Public, de Religion, de la Fronde, disettes de la Révolution, invasions de 1814 et 1870 et même la Libération de 1945. L’église inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques porte les traces de cette histoire dans ses constructions successives. Elles correspondent aux périodes d’accalmie et de relative prospérité qui ont suivi toutes ces catastrophes : tout premier gothique du XIIe siècle (l’église a été érigée en paroisse en 1177), puis gothique du XVe siècle.

XVIe-XVIIIe siècles : l’extension du village

Au XVIe siècle, François Ier décide de paver la route directe de Paris à Orléans. Des auberges et relais s’établissent alors en bordure de la grande route, donnant naissance au passage de la Bièvre au lieu-dit : le Pont d’Antony. Le chemin qui joint le Pont au Village deviendra plus tard l’actuelle rue Auguste-Mounié. La prospérité de cette période se traduit aussi par l’autorisation royale, en 1545, de créer un marché (déjà fixé au jeudi !). La majorité des villageois se consacre à l’élevage sur les prairies communales de la Bièvre, à la culture des céréales et de la vigne sur les Graviers et les Grouettes des côteaux. Au XVIIIe siècle est créée la Manufacture royale de cires (avenue du Bois-de-Verrières). Elle a le privilège de fournir Versailles et emploie une centaine d’ouvriers. Antony avait alors vraisemblablement un millier d’habitants. C’est pendant cette période que des notables de Paris construisent de belles demeures dans les environs de la capitale, dont Antony n’a gardé que quelques restes : une façade du château de Berny, la “folie” et le parc (parc Heller) du château de Castries, aujourd’hui disparu.

XIXe-XXe siècles : la naissance d’une ville

Avec l’arrivée du chemin de fer en 1854, la vie d’Antony va basculer complètement, surtout après la guerre de 1870. Non seulement les cultures se spécialisent : Antony va produire des primeurs, des fruits, des fleurs même, transportés sur le marché parisien par « l’Arpajonnais », construit en 1884. Mais surtout, le bourg rural et ses annexes se voient cernés par la construction hâtive de pavillons. Les Parisiens à l’étroit dans leurs murs viennent s’installer le long de la voie ferrée, en « banlieue », sur des terrains moins chers qu’à Paris. C’est la « grande poussée des lotissements » dont la croissance anarchique, à une époque où les contraintes de l’urbanisme n’existaient pas, pose de graves problèmes de voirie et d’équipement. De ces « mal lotis », Auguste Mounié fut le grand défenseur. Lourde charge pour les municipalités d’alors, mais aussi essor : de 1 800 habitants vers 1880, la ville passe à 19 780 habitants en 1936 et fait un nouveau bond démographique après 1950 avec le Grand ensemble. La multiplication des équipements scolaires, sportifs et culturels, le développement des transports (en particulier le RER et le Val vers Orly), la création de commerces, l’implantation de la zone industrielle et d’une zone de haute technologie, l’amélioration de l’urbanisme enfin, assurent à Antony une animation autonome et en font une ville à part entière. »

Anne Fontaine, 1992 (extrait), historienne, géographe et auteur d’études sur Antony (1922-1996).


Libération d'Antony : 24 août 1944

Ce jeudi 24 août 1944, les 20 000 Antoniens s'attendent à une journée comme une autre. Pourtant, la matinée est rythmée par le fracas des obus et le roulement des chars sur la Nationale 20 : la 2e DB du général Leclerc fait route vers Paris. Dans le sillage des libérateurs, des tirs de rafales balaient les rues devenues désertes. Les soldats parviennent jusqu’au niveau de la rue Auguste-Mounié, où ils restent bloqués devant un canon antiaérien 88 allemand. Positionné au carrefour de la Croix-de-Berny, celui-ci a toute la RN 20 en ligne de mire. Après plusieurs heures d’attente, décision est prise de l’attaquer par le flanc. Des résistants antoniens guident le capitaine Witasse à travers la rue Velpeau. Le char Sherman anéantit le canon vers 19 h en remontant l’ex-RN 186. La route vers Paris est dégagée, en partie seulement : le capitaine Dronne fonce vers Paris en passant par L’Haÿ-les-Roses le soir même, afin d’éviter la RN 20 jugée trop dangereuse. Vers 22 h, les cloches des églises de Paris puis de sa banlieue annoncent la Libération. Au matin du 25 août, la liesse envahit la ville. 

Revivez la Libération d'Antony en images


Retour en vidéo sur la promenade historique autour de la Libération d'Antony organisée dans le cadre des Journées européennes du patrimoine 2019

 


 

Commémorations et cérémonies de souvenir

Les dates importantes de notre histoire sont régulièrement commémorées par la Ville, avec le concours des associations d'anciens combattants :

  • Journée nationale de la Déportation (libération des Camps, le dernier dimanche d'avril) ;
  • 8 mai (Victoire des Alliés sur l’Allemagne nazie) ;
  • 18 juin (commémoration de l'appel du général de Gaulle le 18 juin 1940) ;
  • 16 juillet (commémoration de la rafle du Vel' d'Hiv')
  • 24 août (Libération d'Antony) ;
  • 11 novembre (Armistice de 1918) ;
  • 5 décembre (Cérémonie en hommage aux morts pour la France de la guerre d'Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie).

Personnalités de la Ville

  • Alfred Velpeau (1795-1867), médecin français de grande renommée. Créateur des bandes élastiques à compression douce. Il donna son nom à la bande de contention, qui permet d'immobiliser une partie du corps. 
  • François Molé (1734-1802), comédien célèbre du Premier Empire et sociétaire de la Comédie-Française
  • Léon Bloy (1846-1917), écrivain. Œuvres principales : Le Désespéré (1886), Histoires désobligeantes (1894), La Femme pauvre (1897).  . 
  • Jean-Charles Persil (1785-1870), député du Gers, ministre de la Justice et des Cultes, pair de France. 
  • Famille Langevin-Joliot, Frédéric et Irène Joliot, ont découvert la radioactivité artificielle en janvier 1934 à Paris et Marie Curie assista à l'une de leur démonstration. Prix Nobel de chimie en 1935. 
  • Pierre Kohlmann (1935-1961), alpiniste. 
  • Auguste Mounié (1873-1940), pharmacien. Fut sénateur-maire d'Antony de 1912 à 1940. 
  • Georges Suant (1913-1993), enseignant. Fut maire d'Antony de 1955 à 1977. 
  • André Pasquier (1926-1944), jeune résistant mort en 1944 à l’âge de 18 ans 
  • Spéranza Calo-Séailles (1885-1949), cantatrice mezzo-soprano née à Constantinople, inventrice avec son époux Jean Séailles d’un nouveau matériau à base d’émaux, le lap, largement utilisé en architecture et en décoration. Plusieurs de ses enfants se sont illustrés dans la Résistance, dont Simone Séailles (1917-1945), morte en déportation. Elles reposent au cimetière d’Antony.
  • Richard Guino (1890-1973), sculpteur  et peintre catalan, naturalisé français en 1925. Il s’installe avec sa famille dans un atelier à Antony, où il vit et travaille jusqu’à sa mort en 1973 ; quelques mois avant que la cour de Cassation établisse définitivement sa qualité de co-auteur d’une trentaine de sculptures longtemps attribuées à Renoir. Presque totalement paralysé des mains à la fin de sa vie, Renoir travaille avec le jeune sculpteur qui, entre 1913 et 1918, modèle d'après ses dessins et ses tableaux. Renoir meurt en 1919, les sculptures sont éditées et vendues sous son seul nom. Elles sont exposées au Tate Modern de Londres, au musée d’Orsay, au Louvre… En 1995, la maison des Arts lui consacre une grande exposition. Trois de ses enfants seront également sculpteurs et peintres, dont Michel Guino (1926-2013)..
  • Paul Arma (1904-1987), pianiste et compositeur français d’origine hongroise, mais aussi auteur d’oeuvres plastiques, il vécut à Antony à la fin de sa vie.
  • Louise Bourgeois (1911-2010), sculptrice et plasticienne naturalisée américaine en 1955, elle vécut près de vingt ans à Antony jusqu’en 1938. Son oeuvre à l’avant-garde de l’art contemporain est exposée dans les plus grands musées.
  • Georges Chaulet (1931-2012), auteur de plus de cent cinquante romans pour la jeunesse dont la célèbre série Fantômette (50 titres). Il a résidé soixante ans à Antony.
  • René Metge (1941-2024), pilote automobile français, il a participé aux 24 Heures du Mans et a remporté trois Rallyes Dakar.Originaire des Hauts-de-Seine il a vécu à Antony.
  • Patrick Devedjian (1944-2020), maire d’Antony de 1983 à 2002, ancien ministre de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy, député et président du Conseil départemental des Hauts-de-Seine.
  • Laurent Lafforgue (1966), mathématicien, lauréat en 2002 de la médaille Fields, né et scolarisé à Antony.
  • Didier Drogba (1978), footballeur international ivoirien, également de nationalité française, il mène une très brillante carrière notamment à Chelsea et au Galatasaray. Il a vécu à Antony pendant son adolescence.

Déportés et résistants Antoniens

Morts en déportation :
  • Roger BOURDEAUX (Mathausen, 1er avril 1945)
  • Marguerite CHAUMÉNY (1889- Ravensbrück, 24 janvier1945)
  • Maurice DUCHIRON (Mathausen, 16 mai 1945)
  • Jacques FAIPEUR (Auschwitz , 6 juillet 1942)
  • Roger HAVART (Shirmeck, sans nouvelles)
  • Georges HELLER (Flossenburg, 28 décembre 1944)
  • Joseph LE GALL (Buchenwald, disparu)
  • Émile LÉVÊQUE (1896- Schweidnitz, mai 1945)
  • Jeanne MEURDRA (1888- Reicklin, 21 mars1945)
  • Raymond NÈDE (Mathausen, avril 1945)
  • Monsieur NICOLAS (décédé en déportation)
  • Simone SÉAILLES (1917- Ravensbrück, Theresienstadt 26 mai 1945)
  • Henri SOUPION (Auschwitz)
  • Annette TÉNINE (Auschwitz, 1945)
  • Jacques Henri VANDENESSE (Buchenwald, novembre 1944)
     
Fusillés par les Allemands au Mont-Valérien :
  • Robert DOISY (1924-1944)
  • Fernand FENZY (1901-1942)
  • Joseph FOURIAUX (1908-1944)
  • Armand GUILLEBAUD (1904-1942)
  • Marcel MAILLARD (1912-1944)
  • René MORIN (1913-1944)
  • René ROECKEL (1909-1944)
  • Pierre VERMEIR (1925-1944)
     
Résistant, fusillé par les Allemands à Chateaubriand :
  • Maurice TÉNINE (1907-1941)
     
Résistant, Mort pour la France en Alsace :
  • André PASQUIER (1926-1944)
     
Résistants, morts pour la France ayant donné leur nom à des rues d'Antony :
  • Pierre BROSSOLETTE
  • Joseph DELON
  • Robert DOISY
  • Honoré d'ESTIENNE D'ORVES
  • Colonel FABIEN
  • Fernand FENZY
  • Joseph FOURIAUX
  • Louis GAUDRY
  • Armand GUILLEBAUD
  • Georges HELLER
  • Henri LASSON
  • Marcel MAILLARD
  • René MORIN
  • Jean MOULIN
  • André PASQUIER
  • Gabriel PÉRI
  • René ROECQUEL
  • Simone SÉAILLES
  • Docteur TÉNINE
  • Pierre VERMEIR
  • Jeanne Meurdra
  • Marguerite Chaumeny.

Victimes de la Shoah

Le 30 avril 2006 Antony, à l'occasion du 61e anniversaire de la Libération des camps, a inauguré une stèle à la mémoire des Antoniens victimes de la Shoah. Ces hommes, femmes et enfants juifs d'Antony ont été arrêtés, déportés et exterminés à Auschwitz et Majdanek de juin 1942 à février 1944

  •  Arja FERSZT (1906-1942)
  • Bragalda FERSZT (1884-1943)
  • Hélène FERSZT (1906-1942)
  • Jacob FERSZT (1902-1942)
  • Monique FERSZT (1931-1942)
  • Moszeck FERSZT (1879-1943)
  • Serge FERSZT (1931-1942)
  • Esther FRIDMAN (1901-1942)
  • Jacques FRIDMAN (1925-1944)
  • Philippe FRIDMAN (1898-1942)
  • Itle Rose KOZLOWSKI (1934-1942)
  • Rachel KOZLOWSKI (1903-1942)
  • Wolf KOZLOWSKI (1892-1942)
  • Aron LEW (1907-1942)
  • Chaïm OFMAN (1894-1942)
  • Jacob SEVY (1918-1944)
  • Jean-Claude SEVY (1942-1944)
  • Rachel SEVY (1923-1944)
  • Richard SEVY (1944-1944), 1 mois
  • Esther SKOWRONSKI (1901-1942)
  • Jacob SKOWRONSKI (1891-1942)
  • Sarah SKOWRONSKI (1931-1942)
  • Etlea Annette TÉNINE (1907-1943)
     
Allée Plotkine

Le dimanche 29 avril 2007, la voie privée située au 77-79, avenue François-Molé, a été officiellement nommée « Allée Esther et Abraham Plotkine », à l’initiative de M. et Mme Nakache, avec l’accord unanime des riverains, et en présence de Jean-Yves Sénant, maire d’Antony, de Nilda Zérah, 1re adjointe au Maire, de Paul Fellous, Béatrice Katz et Edmond Nadam, président et vice-présidents de la communauté juive d’Antony, et du Rabbin Yonathan Levy, venu de Montpellier à la demande des descendants d’Esther et Abraham Plotkine.

Lors de l’achat de leur maison, M. et Mme Nakache ont appris par le notaire que les derniers occupants, Abraham et Esther Plotkine, étaient morts en déportation à Auschwitz (convoi 46, Drancy-Auschwitz, février 1943). Bouleversés, ils se sont aussitôt promis de garder leur mémoire et ont décidé avec l’accord de leurs voisins de donner leur nom à leur allée. Les cinq petits-enfants d’Esther et Abraham Plotkine ont pu assister à cette cérémonie et c’est une des petites-filles qui a retracé l’histoire de ses grands-parents :
« Nos grands-parents sont venus de leur Russie natale au début du XXe siècle en 1905. Ils fuyaient la pauvreté des shtetl et les pogroms organisés. La France avait une réputation de liberté, ils sont venus à Paris, ils y ont exercé le métier de cordonnier et ont eu 4 enfants. Ils se sentaient français et avaient obtenu la nationalité française pour leurs enfants le 26 février 1926. Soucieux de la bonne santé de leurs enfants, nos grands-parents et trois de leurs amis avaient acheté chacun un petit terrain à Antony en 1920. Mamans et enfants venaient y passer les vacances scolaires d’été et les papas les rejoignaient le dimanche. Notre grand-père fit construire une petite maison de 40 m² : trois petites pièces, petite cuisine et WC à l’extérieur bien sûr. On allait chercher l’eau potable à la fontaine dans la rue, il n’y avait pas de tout-à-l’égoût, l’éclairage était au carbure, et on rapportait le bois pour la cuisinière à bois, qui servait en même temps pour le chauffage, dans une poussette d’enfants du Bois de Verrières.
Pendant la guerre de 1939-45, cette petite maison servit de refuge à 7 personnes : M. Jackie Handelman, son frère et sa maman, Mme Rose Tachnoff née Altman et sa maman, Mme Yvette Nataf née Kerbaum et sa maman. En 1941, l’atelier de cordonnerie de nos grands-parents a été placé sous le contrôle d’un administrateur provisoire et notre grand-père a été rayé du registre des métiers. C’est à ce moment que nos grands-parents se sont réfugiés dans leur maison d’Antony. Au début de l’année 1943, suite à une convocation, ils se sont rendus au commissariat à Paris et n’en sont jamais revenus. Ils ont été immédiatement déportés à Drancy puis à Auschwitz. La date officielle de leur décès est le 14 février 1943. »

Près du poteau sur lequel est posée la plaque « Allée Esther et Abraham Plotkine », il y a un buis. Ce buis a une histoire : lors de la démolition de l’ancienne maison, un voisin, M. Pradayrol, qui habite 77 avenue François Molé, a fait remarquer à M. Nakache que l’ancien propriétaire avait planté des buis et qu’il serait dommage que ceux-ci disparaissent. Non seulement les buis ont été préservés mais le poteau de l’allée est planté sur une parcelle du terrain appartenant à M. Pradayrol avec son accord. C’est une belle image du présent qui s’enracine dans le passé.


Bibliographie complémentaire

Trois ouvrages, disponibles en librairie, évoquent Antony et son histoire :

  • Antony des origines à nos jours : Histoire de la ville racontée par l'équipe "Connaissance d'Antony", menée par Anne Fontaine.
  • Saint Saturnin : livret sur l'église par Anne Fontaine et son équipe.
  • Antony cinq siècles de rues et de lieux-dits : dictionnaire des noms de rues par Yvonne Firino.

Cet ouvrage peut être commandé en écrivant à :
APPA Editions 3, place St Clair
28170 Châteauneuf en Thymerais
Tél. : 02 37 51 82 70
Site internet : appa.antony.free.fr

  • Enjalvin, Augustin (abbé). Histoire d’Antony ou recherches faites sur cette localité. Antony, chez l’auteur, 1852, 143 p.
  • Bournon, Fernand. État des communes à la fin du xixe siècle : Antony, notice historique et renseignements administratifs. Conseil général du département de la Seine, « Monographies des communes de la Seine », Montévrain, Imprimerie de l’École d’Alembert, 1896, 84 p.
  • Fontaine, Anne (dir.). Antony, des origines à nos jours. Antony, Connaissance d’Antony, 1987, 200 p.
  • Antony d’hier et d’aujourd’hui, bulletin de l’Association pour la promotion du patrimoine d’Antony (APPA), 1989, 16 numéros parus.
  • L’écho du terroir, bulletin de l’association Atelier-musée du pays d’Antony (AMPA), 1992, 46 numéros parus.
  • Firino, Yvonne. Antony, cinq siècles de rues et de lieux-dits. S. l., Association pour la promotion du patrimoine d’Antony (APPA), Maurry, 1998, 254 p.
  • Atelier-musée du pays d’Antony, Antony. Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton, « Mémoire en images », 2009, 128 p.